Notice bibliographique
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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Titre conventionnel : [Exposition. Chantilly, Musée Condé. 2018]
Titre(s) : Géricault au musée Condé de Chantilly [Texte imprimé] : [exposition, Domaine de Chantilly, Musée Condé, 15 juin-14 octobre 2018] / [catalogue] par Nicole Garnier-Pelle
Publication : Dijon : Éditions Faton ; Chantilly : Domaine de Chantilly, impr. 2018
Impression : impr. en Belgique
Description matérielle : 1 vol. (94 p.) : ill. en coul. ; 22 cm
Collection : Les carnets de Chantilly ; 5
Lien à la collection : Les Carnets de Chantilly
Note(s) : Bibliogr., 2 p.
Autre(s) auteur(s) : Garnier-Pelle, Nicole (1955-....)
Musée Condé (Chantilly, Oise)
Sujet(s) : Géricault, Théodore (1791-1824) -- Lithographie
Genre ou forme : Catalogues d'exposition
Indice(s) Dewey :
769.92 (23e éd.) = Gravure et estampes - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-87844-250-2 (rel.) : 19,50 EUR
EAN 9782878442502
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45531909g
Notice n° :
FRBNF45531909
Résumé : Figure éminente du romantisme, surtout connu en tant que peintre du cheval, Théodore
Géricault (1791-1824) meurt à trente-deux ans, plus jeune que Raphaël ou Watteau,
laissant une production lithographique qui compte parmi les plus grands chefs-d'œuvre
du xixe siècle. Formé par Carle Vernet, Guérin et l'École des beaux-arts, ayant copié
les maîtres au Louvre, Géricault échoue au prix de Rome en 1816, mais se rend à ses
frais en Italie. Il introduit dans son œuvre l'actualité contemporaine : libéral,
il montre les souffrances des soldats de l'Empire, critique le régime de la Restauration
avec son Radeau de la Méduse (Salon de 1819), s'intéresse à la question de l'esclavage.
Durant ses séjours à Londres en 1820-1821, il dénonce dans ses lithographies la réalité
sociale des débuts de la révolution industrielle. Les poèmes de Lord Byron inspirent
sa production orientaliste, dominée par son amour du cheval. Le musée Condé à Chantilly
conserve une collection presque complète de ses lithographies, acquise en 1866 par
Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897), donateur de Chantilly à l'Institut de France.
[source éditeur]