Notice bibliographique
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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Harchi, Kaoutar (1987-....)
Titre(s) : Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne [Texte imprimé] : des écrivains à l'épreuve / Kaoutar Harchi
Publication : [Paris] : Pauvert, DL 2016
Impression : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI Bussière
Description matérielle : 1 vol. (294 p.) ; 22 cm
Sujet(s) : Écrivains algériens
Littérature algérienne de langue française -- 1970-.... -- Appréciation -- France
Indice(s) Dewey :
840.996 5 (23e éd.) = Littérature de langue française - Histoire et critique - Algérie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7202-1549-0 (br.) : 19 EUR
EAN 9782720215490
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45116565z
Notice n° :
FRBNF45116565
Résumé : Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain
français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit
avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est
aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient
alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains
algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel
Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix
d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers
n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres
critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes
de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ?
[source éditeur]