Edmond de Goncourt écrivait très justement en décrivant des portrait féminins d'Utamaro : « Peut-être dans le hiératisme de dessins de la figure humaine nippon qui condamne le peintre à ne reproduire les yeux que par deux fentes avec un petit point au milieu, le nez par un trait de calligraphie aquilin, la bouche que par deux petites choses ressemblant à des pétales recroquevillés de fleurs, Utamaro est le premier qui met autour de ces lignes tant de choses de la vie des vrais portraits. »