Gwynplaine à la chambre des Lords
La cave pénale
Effet de neige
Ursus et Homo
Le phare d’Eddystone
L'homme qui rit, dessin de Victor Hugo
Victor Hugo (1802-1885), auteur ; Ollendorff , éditeur, Paris, 1904-1924.
9 vol. : portr., pl., fig., fac-sim. en noir et en coul. ; gr. in-8
BnF, département Littérature et Art, 4-Z-1628 (A,8)
© Bibliothèque nationale de France
Plusieurs dessins de Victor Hugo ont accompagné de près ou de loin la genèse de L’homme qui rit, dont le célèbre phare d’Eddystone, mais l’auteur ne les intégra pas dans son manuscrit comme pour Les Travailleurs de la mer (1866).

« Au dix-septième siècle un phare était une sorte de panache de la terre au bord de la mer. L'architecture d'une tour de phare était magnifique et extravagante. On y prodiguait les balcons, les balustres, les tourelles, les logettes, les gloriettes, les girouettes. Ce n'étaient que mascarons, statues, rinceaux, volutes, rondes-bosses, figures et figurines, cartouches avec inscriptions. Pax in bello, disait le phare d'Eddystone. Observons-le en passant, cette déclaration de paix ne désarmait pas toujours l'océan. »

Victor Hugo, « Les casquets », L’Homme qui rit, I, II, 11.
> Texte intégral dans Gallica : Paris, Ollendorff, 1904-1924.
 
 

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