Todos Caeran : Caprice n°19
Les Caprices
Francisco de Goya (1746-1828), graveur, 1799.
BnF, département des Estampes et de la Photographie, Réserve BF-4 (J)-FOL Boîte 10
© Bibliothèque nationale de France
Casanova goûte peu les Espagnols, « tous ennemis de l'étranger » et « jaloux par nature ». Il trouve les femmes, en revanche, « ardentes de désirs et toutes prêtes à donner la main à des manèges tendant à tromper tous les êtres qui les entourent pour espionner leurs menées. » (Histoire de ma vie, III, p. 571-572). Il rencontre à Valence l'image même de la débauche en la personne de la jeune Nina Bergonzi, qu'il décrit se livrant à une scène d'orgie si insoutenable pour lui qu'il prend la fuite. (Histoire de ma vie, III, p. 683-684).
 
 

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