« Dans le jour suivant, je suis allé à La Haye où je me suis logé chez Jaquet, au Parlement d'Angleterre. Dans le même jour, je me suis présenté à M. d'Affri dans le moment qu'il lisait la lettre de M. de Choiseul qui l'informait de moi et de l'affaire. Il me retint à dîner avec M. de Kouderbac, résident du roi de Pologne Électeur de Saxe, et il m'encouragea à bien faire me disant cependant qu'il doutait de la réussite parce que les Hollandais avaient des bonnes raisons pour croire que la paix ne se ferait pas de sitôt. » (Histoire de ma vie, II, p. 104.)