Le Maroquinier
Illustrations de l'Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, arts et métiers
Denis Diderot (1713-1784) et D'Alembert (1717-1783), 1777-1779.
BnF, département Littérature et Art, Z-373
© Bibliothèque nationale de France
Haut de la Planche
Les ouvriers mettent à tremper les peaux de bouc ou de chèvre dans l'eau croupie pour les ramollir, en se servant de longues tenailles (fig. 2 et 3). Ils retirent ensuite les peaux du baquet pour les mettre en retraite (C). Celles ci sont ensuite pilées (fig. 4) et rétallées ou tondues sur le chevalet (fig. 1). On peut voir le pont sur la rivière d'où l'on rince les peaux dans l'eau courante (bc).

Bas de la Planche
Queuse ou couteau pour peler les peaux (fig. 1) : il est composé d'une ardoise emmanchée dans un fust de bois ; Pierre ou ardoise séparée de son fust (fig. 2) ; Chevalet de l'ouvrier (fig. 3), sur lequel on travaille de rivière ; Coupe verticale d'un plein ; il a 3 pieds de diamètre et 5 de profondeur (fig. 4) ; Tenailles dont se servent les ouvriers pour tremper les peaux (fig. 5) ; Autres tenailles dont les ouvriers se servent pour étendre les peaux dans le plein (fig. 6) ; Pilon (fig. 7).
 
 

> partager
 
 
 

 
> copier l'aperçu
 
 
> commander