Après la publication de Pot-Bouille, satire particulièrement amère qui oppose la respectabilité de façade de la petite bourgeoisie à l'ordure de ses arrière-cours et de ses arrières-pensées, le pot de chambre va devenir un accessoire obligé de la caricature anti-zolienne qui, au-delà du jeu de mot facile, se fait l'écho de l'accusation de surenchère scatologique que certains critiques adressent à Zola.