« Pour lutter contre les grands magasins, les petites maisons (une maison de mercerie par exemple) ont cherché les affaires en employant des courtiers, qui vont offrir aux couturières ou [aux] modistes. Certains courtiers très courus ont une clientèle qu'ils apportent avec eux. Dans ces petites maisons, quand il y a trois employés, on compte deux hommes et une femme.
Piston (apprenti). Dans la mercerie, une année d'apprentissage. Le Piston paie six cents francs (pour une année seulement), avec promesse d'appointements pour la deuxième année.
Le repas en deux fois. Le patron. La patronne. Ils découpent et servent. »