« Dans certaines galeries, dans certain rayons, on s'écrase, tandis que, à côté, il n'y a personne (à l'entresol par exemple). Dans les galeries des comptoirs de femmes, un piétinement continu, peu d'hommes. Le soleil de 4 heures entrant et traversant tout d'une poussière d'or.
Au bout, dans les comptoirs pour les petites filles et les garçonnets, les enfants assis, pendant que les vendeuses et les mères leur essayent des objets.
Selon la nature des articles, ils sont sur les comptoirs, dans des cartons ouverts dans des cases. En bas la chapellerie est dans des vitrines, la mercerie dans des boîtes. Partout, de gros écriteaux, avec de gros chiffres. »