« Quant à l'intéressé d'Octave, il est inutile de le mêler à l'intrigue romanesque, un type de garçon pratique, très moderne, faisant son affaire, correct, avec un coin de famille à Paris peut-être. Il ne s'occupe pas de la femme, froid, de bon conseil pour Octave. L'homme chiffre au milieu de cet entassement de femmes.
Voir ce que cela me donnerait si Octave avait un associé. Il ne pourrait y avoir qu'une lutte d'intérêt. A voir.
Pour avoir des clientes, j'aurai d'abord des femmes rencontrées, montrées, chez la maîtresse d'Octave. Mais cela ne suffit pas, il me faudrait des femmes dans toutes les classes, sept ou huit. Je pourrais prendre chez la maîtresse d'Octave, la femme très bien qui vole par tentation, point aigu. Mais il me faudra cinq ou six autres femmes, nommées, et connues de vue par les vendeurs, pour personnifier la clientèle. »