La destruction de Lisbonne : ruines de la cathédrale Santa-Maria
Jacques-Philippe Le Bas (1707-1783), graveur, 1757.
Gravure
BnF, Bibliothèque-musée de l'Opéra, EST SALLE THEATRE DE LISBONNE
© Bibliothèque nationale de France
Les images de ces églises effondrées sur les fidèles marquent fortement les esprits. Comment Dieu a-t-il pu permettre une chose pareille ? La question agite les philosophes qui débattent sur la Providence. Voltaire apprend la nouvelle trois semaines plus tard et écrit le Poème sur le désastre de Lisbonne, ou examen de cet axiome : Tout est bien (1756), réflexion sur la destinée et l’existence du mal. Si le mal existe, la Providence ne peut exister. Alors, à quoi bon croire ?
 
 

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